Avec un fait…

Il y a l’histoire…

Il y a la mémoire aussi …

Histoire comme mémoire, il s’agit de l’interprétation des différentes informations autour d’un fait !

“Destruction, disparition…” des sources archivistiques de l’histoire de la Casamance durant la période de la présence française et relatives (archives) aux promesses politiques (alléguées) sur l’avenir de la Casamance : mythe ou réalité ?

Nous vous proposons une analyse en deux épisodes de durées inégales sur ce débat. Il s’agit surtout, à notre niveau, de revenir sur la méthode de travail de Jeacques Charpy, qui, en 1993, avait proposé un « témoignage historique sur la Casamance » à la demande des protagonistes qui voulaient que l’ancienne puissance derrière la manifestation de l’Etat en Afrique occidentale, en l’occurrence la France, se prononce. L’archiviste, J. Charpy, a davantage travaillé en historien (méthode historique) qu’en spécialiste de la classification des archives avec sa propre méthodologie qui elle, aurait pu permettre de retracer l’évolution de la présence française en Afrique, qui passe d’un système colonial à un système de République sous l’Union française à partir de 1946.

Les « sources de l’histoire de la Casamance » sont liées à ces contextes de l’évolution de l’expansion française et de l’organisation des archives conformément à ces dits contextes de domination militaire (ministère de la marine), d’administration du système d’indigénat (AOF) et enfin le statut de citoyen sous l’Union française.. .

Cette interprétation historico-mémorielle est à accepter comme telle, en espérant qu’elle enrichira la réflexion et permettra d’apporter la paix des cœurs.

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